Un parfait débutant en langues peut tenir une discussion en 3 semaines. La preuve par 5 !

Babbel a fait mesurer l’efficacité de son méthode par des chercheurs de la City University of New York (CUNY), avec des résultats concluants. Voici les 5 résultats principaux à en retenir.

Vous êtes débutant, novice ou encore néophyte dans une langue… peu importe le terme ! Nous tous, chez Babbel, partageons votre douleur. Des cours d’espagnol peu concluants ou des leçons d’allemand à mourir d’ennui vous ont dégoûté à vie de l’apprentissage des langues ? Rien d’étonnant ! Mais faites-nous confiance, votre aventure au pays des langues étrangères est loin d’être terminée. Nous, nous savons que vous pouvez y arriver !

Pour joindre le geste à la parole, nous avons commandé une étude auprès de chercheurs de la City University of New York (CUNY). L’objectif était de savoir quel niveau d’espagnol deux groupes complètement débutants pouvaient atteindre en deux mois en utilisant la méthode Babbel. Plutôt confiants, nous avons ensuite lancé un défi à 15 employés Babbeloniens : apprendre autant que possible l’espagnol pendant trois semaines, avec notre application. Résultats ? L’étude CUNY et notre challenge Babbel in situ démontrent tous deux que n’importe quel novice qui a peu de connaissances en espagnol – voire aucune – peut faire très rapidement d’énormes progrès avec Babbel.

En voilà une affirmation audacieuse ! Nous ne vous en voudrions d’ailleurs pas de vous demander comment Babbel prétend transformer un néophyte en pro de l’apprentissage des langues. Nous avons donc réuni 5 conclusions (preuves à l’appui) qui permettent d’affirmer qu’en matière d’enseignement, Babbel ne vous fera pas perdre votre temps.

Conclusion nº 1 : vous ferez de réels progrès, même en démarrant de zéro

Résultats de l’étude CUNY : 85 % des participants à notre étude disaient n’avoir pas ou peu de connaissances en espagnol, alors que les 15 % restant avaient déjà quelques compétences dans cette langue. L’étude a prouvé que ce sont pourtant les grands débutants qui ont fait le plus de progrès en espagnol, obtenant des résultats trois fois supérieurs aux « faux débutants » lors des examens de fin de période d’apprentissage.

Challenge Babbel : Nos Babbeloniens n’avaient eux non plus aucune connaissance préalable en espagnol, ne l’ayant jamais étudié auparavant. La prononciation délicate de cette langue en faisait paniquer plus d’un, tandis que d’autres avaient encore des sueurs froides en se remémorant leurs tentatives infructueuses de passer commande dans des restaurants en Espagne. Mais comme l’a si bien dit l’un d’entre eux : « Je démarre de zéro, donc je ne peux pas échouer ». Et bien justement, ils n’ont pas échoué ! Nous les avons vu progresser très rapidement. Alors qu’au début ils pouvaient à peine deviner le sens de phrases de base, ils ont petit à petit commencé à former leurs propres phrases simples en espagnol, pour finalement réussir à avoir une courte conversation avec un hispanophone. Et tout cela en à peine trois semaines ! Muy impresionante.

 

Conclusion nº 2 : vous ne passerez pas tout votre temps à étudier

Résultats de l’étude CUNY : Notre étude conclut que nos participants n’ont eu besoin que de deux heures par semaine en moyenne pour atteindre en deux mois le niveau d’espagnol correspondant à un semestre universitaire (niveau College aux États-Unis). Il est également apparu que l’apprentissage des grands débutants en espagnol a été plus efficace et qu’ils n’ont en réalité eu besoin que d’un total de 15 heures d’étude durant les deux mois prévus pour arriver au même niveau.

Challenge Babbel : Nos Babbeloniens, en revanche, ont réussi à consacrer approximativement 15 minutes par jour à l’étude de l’espagnol, durant les trois semaines de leur challenge. Félicitations à eux !

Conclusion nº 3 : vous apprendrez rapidement

Résultats de l’étude CUNY : L’étude CUNY s’est déroulée sur une durée de seulement deux mois, ce qui prouve qu’il n’est pas nécessaire de sacrifier une demi-année pour atteindre un tel objectif.

Challenge Babbel : Le défi que nous avons lancé à nos Babbeloniens durait trois semaines, ce qui s’est révélé suffisant pour qu’ils atteignent leur but, à savoir réussir à mener une conversation en espagnol au terme du challenge. Bien entendu, nos participants ont dû condenser leur apprentissage sur une durée plus courte que celle de l’étude CUNY. Mais ils ont su inclure leurs leçons d’espagnol dans leur quotidien, profitant de leurs trajets au travail et de leurs pauses déjeuner pour faire leurs exercices Babbel, ou encore de quelques minutes au lit, juste avant d’aller dormir !

 

Conclusion nº 4 : vous étudierez avec plaisir

Résultats de l’étude CUNY : 99 % des participants à notre étude ont affirmé qu’ils continueraient à utiliser Babbel après la fin de l’expérience. Impressionnant ! Mais pas si surprenant, puisque faire des progrès constitue l’un des facteurs clés de la motivation, celui qui incite à poursuivre l’apprentissage d’une nouvelle langue.

Challenge Babbel : De même, la plupart de nos Babbeloniens sont tombés amoureux de la langue espagnole durant les trois semaines du challenge. Beaucoup ont même promis de continuer leur apprentissage loin des caméras.

Conclusion nº 5 : avec Babbel, ce sera facile

Résultats de l’étude CUNY : L’étude rapporte qu’une écrasante majorité (entre 92 % et 95 %) trouve que Babbel est facile à utiliser, efficace et surtout « qu’ils ont eu du plaisir à étudier ! »

Challenge Babbel : Il en va de même pour nos Babbeloniens ! Pour beaucoup, utiliser une application implique qu’étudier est littéralement à portée de main, puisqu’ils ont toujours leur Smartphone sur eux !

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David Sumner

David Sumner vient d'une petite ville portuaire dans le comté de Devon, cette région d'Angleterre si profondément rurale qu'elle ferait rougir la Terre du Milieu de Tolkien. Il vit à Berlin depuis 2010. Après des études en sciences politiques à la faculté de Potsdam, il est venu rejoindre Babbel afin de partager ses (bonnes et mauvaises) expériences dans l'apprentissage des langues. Lorsqu'il n'est pas en train de vivre le rêve berlinois (dont le döner kebab est le principal ingrédient), il se déchaîne sur des keyboard islandais, joue de la batterie à la façon d'Animal du Muppet Show ou bien s'échappe dans les Alpes dès qu'il le peut.

David Sumner vient d'une petite ville portuaire dans le comté de Devon, cette région d'Angleterre si profondément rurale qu'elle ferait rougir la Terre du Milieu de Tolkien. Il vit à Berlin depuis 2010. Après des études en sciences politiques à la faculté de Potsdam, il est venu rejoindre Babbel afin de partager ses (bonnes et mauvaises) expériences dans l'apprentissage des langues. Lorsqu'il n'est pas en train de vivre le rêve berlinois (dont le döner kebab est le principal ingrédient), il se déchaîne sur des keyboard islandais, joue de la batterie à la façon d'Animal du Muppet Show ou bien s'échappe dans les Alpes dès qu'il le peut.